Deux hommes une femme dans la forêt de Rambouillet

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il y a 10 ans

Il y a quelques temps, j'ai posté sur Internet une annonce dans la rubrique "Autres Désirs". Effectivement, je pense être bi et je voulais avoir une expérience avec un couple. Mon annonce fut sobre mais direct: "jeune homme bi ch h, f ou cpl pour tout plan sympa et chaud.".

Au bout de quelques jours j'ai reçu plusieurs réponses dont celle d'un couple habitant dans la même ville que moi. Quelle chance !

Je m'empresse de répondre et j'obtiens un rendez vous immédiatement (moi qui considérais que l'attente serait plus longue, j'en suis encore étonné).

Afin de patienter le dit jour, je continue à converser par e-mail avec Roger le mari. Jamais auparavant je n'ai eu de rapport avec des couples et j'avoue avoir peur de la suite en indiquant mes tendances bi dans l'annonce. Il m'explique alors que sa femme aime être le centre d'intérêt des hommes, une mascotte en somme. Mais, ce qui est le plus intéressant pour moi, c'est qu'il n'est pas réticent aux attouchements entre hommes. Par ailleurs, cela excitait un peu sa femme. Personnellement, je préfère la compagnie des femmes et m'en satisfait que trop bien au point de vouloir leur ressembler parfois !

Effectivement, il m'est arrivé de porter des sous vêtements féminins chez moi et à l'extérieur. Ce que j'adore, c'est le contact que les bas peuvent faire sur la peau et la sensation de fraîcheur sur les jambes lorsqu'on déambule tranquillement dans la rue. Je me prends à rêver d'être en travesti devant ce couple et d'agir en tant que tel face à la femme et à l'homme.

N'ayant l'air de rien, j'essayais ou voulais plutôt devenir la mascotte du couple, prêt à tout (ou presque). Dans ses mails, Roger me rassurait pleinement et m'indiquait clairement que toutes les positions seraient possibles et je me suis alors décidé de porter des vêtements sexy en dessous de mon jean pour eux.

Enfin, le jour arrivait. Juste avant de prendre le train afin de me rendre au rendez-vous, j'ai enfilé une petite culotte noire bordée de dentelle et des bas noirs auto fixants. Etant à la fin juin et par crainte d'avoir trop chaud, je n'ai pas mis la petite nuisette noir que j'aime beaucoup. J'arrive à la gare vers 18h15 et commence à scruter les voitures garées sur le parking de devant. Roger m'avait donné la description de sa voiture avec son numéro de plaque. Après cinq minutes de recherche, je me senti un peu déçu car il n'y avait pas de voiture correspondant à la leur. Regardant ma montre, je m'aperçois finalement que j'ai 10 minutes d'avance. Je me mets alors à attendre la voiture patiemment au bord d'un trottoir. Soudain, une voiture verte avec le bon numéro de plaque arrive et se gare dans le parking. Je commence à m'approcher timidement mais tourne au dernier moment comme si une petite voie me disait de ne pas y aller.

Je tourne et je retourne en les observant et en essayant d'imaginer comment cela allait se passer: les attouchements, les sensations, la rencontre ! Finalement je me présente devant le mari qui commençait à s'inquiéter de mon absence.

  • bonjour, désolé d'être en retard (mouais tu parles, tu te demandais si tu allais y aller et ça fait longtemps que tu attends !)
  • Ah, fit Roger! rentre vite dans la voiture, on va discuter.

J'ouvre la porte et commence à devenir sérieusement anxieux. La femme, Marie, se tourne vers moi avec un grand sourire et semble me dévorer du regard.

  • Salut, dit-elle d'une voie sensuelle avec une pointe d'excitation. Je ne pensais pas que tu serais aussi mignon. Allez détends toi, tout va bien se passer: on a encore mangé personne, elle rit.
  • C'est gentil, dis-je bien que je ne sois pas aussi de ma beauté visuelle: elle est aimable, c'est tout.

On commença alors à discuter de choses et d'autres et j'appris qu'ils n'étaient pas à leur coups d'essai et avaient déjà participé à des trios et des groupes. Comment cela va-t-il se passer!

  • Tout le simplement du monde, dit Roger. Avec ton accord, on va aller en forêt dans un coin tranquille et on verra bien ce qu'il se passe.
  • Cela ne vous dérange pas si je suis un peu bi: j'aime bien toucher les sexes d'hommes, dis-je avec surprise.
  • Ah mais non, je ne pense pas que Roger soit retissant et puis je trouve cela sympa.
  • Bien sur Marie ! D'ailleurs quand j'étais jeune, j'ai déjà eu des rapports homosexuels et ce n'était pas désagréable du tout.

Oui je suis d'accord avec lui, on peut très bien avec ce genre de rapport même si on est hétéro. Après tout, il faut bien découvrir des nouveaux plaisirs au cours de sa vie.

  • Par contre pour ma part, je ne vais pénétrer personne. Cette tournure de phrase laissant entendre à demi mots que les rapports "poussés" entre hommes ne seraient pas vraiment interdit.
  • Pas de problèmes, dit Roger en rigolant. Avait-il compris mon allusion ?

Marie descendit alors de la voiture et vint me rejoindre derrière. Roger démarra la voiture et nous voilà parti pour une rencontre fort sympathique. Au cours du voyage, je m'aventure sur les jambes de Marie. Elle portait une simple jupe qui arrivait aux genoux. En haut, un petit chemisier blanc où on distinguait à peine sous soutien-gorge. Ses sens pointait à travers le chemisier et elle pris ma main pour la remonter un peu en haut de ses cuisses. J'arrivais alors au niveau de sa toison et m'aperçut avec bonheur qu'elle ne portait pas de culotte.

Décidément, elle est vraiment chaude et elle commence même déjà à mouiller. Son mari n'en perdait pas une miette dans son rétroviseur. Mon doigt commençait à caresser doucement son petit sexe rasé. Qu'il est agréable d'avoir un sexe rasé au bout des doigts. Elle mouillait de plus en plus et elle se caressait les bouts des seins.

Nous nous garons alors au bord de la nationale et nous nous précipitons dehors afin de rentrer le plus vite possible dans la forêt. Tout en se regardant avec Marie, je me suis mis à lécher mon doigt tout mouillé ce qui l'excita terriblement au point de se jeter sur son mari qui nous cherchait un coin sympathique. Arrivé à destination, Roger mis un drap blanc par terre et Marie se mit à genoux devant moi et commença à retirer mon jean. Je la laissais découvrir elle même ma petite surprise.

Pendant que Marie retirait ma ceinture et mes boutons, Roger caressait ses fesses bien rondes en soulevant sa jupe. Je crus comprendre qu'il commençait à masturber son trou de son majeur. Marie retira mon jean et découvrit avec un "Oh" de surprise ma tenue sexy. Mon sexe était déjà assez gros et la petite culotte avait du mal à la contenir. Elle me regarda d'un air de surprise et je vis alors un sourire gourmand se dessiner sur son visage.

  • Que tu es jolie ma petite pute, me lança-t-elle. Roger m'avait déjà prévenu par mail de leur franc parler dans ces moments là, et j'ai trouvé cette dénomination assez agréable compte tenu de la situation. J'ai envie de te manger maintenant, hum.

Elle retira alors ma petite culotte qui me serrait encore plus depuis quelques minutes, découvrant ainsi mon sexe bandé presque à fond. Elle plongea alors sa bouche dessus et commença un mouvement de succion incroyable. Roger excité par ma tenue me complimenta et caressait de plus en plus fort les trous de Marie qui se trémoussa. Ses mouvements sur mon sexe étaient divins, je sentis sa langue s'enrouler autour et aussi un doigt qui commença à s'aventurer au niveau de mon trou du cul, tout en me regardant d'un air gourmand.

Elle enfonça alors un doigt et cela faillit m'achever: j'étais au bord de l'éjaculation. Je lui fis comprendre que j'allais venir mais sous les ordres de Roger, elle continua de plus belle tout en me masturbant le trou. Il ne fallut pas longtemps avant que je commence à sentir le plaisir monter en moi. Roger s'était occupé de son sexe par derrière en la léchant furieusement. Elle commença à vouloir mettre une deuxième doigt dans mon derrière et à se moment là, je me suis mis à décharger dans sa bouche au moins un litre de foutre. Au même moment, mes fesses se détendaient et le deuxième doigt allait sans difficulté rejoindre son ami de main. Les spasmes me parcouraient tout le corps et le désir était très fort.

J'eus l'impression qu'elle me vidait entièrement et augmentait le rythme des allées venues dans mes fesses avec ses doigts. Roger se leva alors et tira Marie vers elle pour qu'elle s'occupe aussi de son sexe bien bandé. Elle retira délicatement ses doigts de mes fesses puis me pris la main tout en se dirigeant vers le sexe de son mari. Elle l'avala sans contrainte et d'un bloc puis se retira de lui tout doucement en léchant au maximum son pénis. Elle fit alors un mouvement de main qui me f o r ç a à m'accroupir à côté d'elle. Elle prit le sexe de Roger et me la présenta devant moi.

J'avais déjà fait une fellation il y a un ou deux ans, mais avec un préservatif. D'ailleurs à ce moment là, j'étais habillé de la même manière: je dois décidément beaucoup me plaire en femme devant un homme avec le sexe tendu. Mais là, Marie m'avait laissé elle aussi une surprise: elle n'avait pas comme je l'eus cru, avalé toute ma semence et en avait déposer un peu sur le pénis de son mari.

Je commençai alors à lécher ma propre semence que je trouvais un peu salé. Marie finit par me rejoindre et nous nous trouvâmes alors tous les deux à lécher le sexe bandé de Roger. Tout en suçant, ma main gauche se promena sur les fesses de Roger et décida de caresser son petit trou. Immédiatement, il écarta un peu les jambes comme pour mieux me guider vers son trou. Mon doigt entra directement comme si ce n'était pas une nouveauté pour lui.

Marie et moi sucions à tour de rôle le pénis et avait découvert mon jeu derrière Roger. Elle se retira me laissant seul à la suce de Roger comme pour mieux apprécier le spectacle. Effectivement, moi en dessous féminins et suçant son mari à genoux avec un doigt dans son cul, elle jubila.

Elle fouilla dans son sac et retira un petit god blanc: à vue d'œil, il faisait 2 cm de large et 12 cm de long. Elle mit un produit dessus et me fit mettre à quatre pattes. Elle dirigea son god directement dans mon trou. Je n'ai jamais été sodomisé et la sensation de brûlure me torturait le cul au début. Je ralentissais la suce et avait cesser les va-et-vient de mon doigt au fur et à mesure que Marie m'enfonça le god. Roger le remarqua et pris ma tête pour la stabiliser. Il bougea son bassin comme s'il me pénétrait. Je sentais son sexe frotter sur mon palais et la sensation dans mes fesses se transforma en plaisir.

Quel bonheur d'avoir un sexe dans la bouche et une femme qui vous sodomise, même s'il ne s'agit pas d'un god ceinture. Au bout d'un moment, Roger se retira de ma bouche me laissant toujours à quatre pattes devant Marie qui me sodomisait de plus belle. Roger s'approcha de Marie et pris le god pour poursuivre la sodomie. Elle se mit alors devant moi à quatre pattes afin que je lui lèche le trou du cul. Tout en gémissant, elle recula un peu pour que j'insère mieux ma langue dans son trou. Roger sortit le gode de mon trou qui avait du mal à se refermer. Il s'allongea sur le drap et invita sa femme à le chevaucher. Marie me dit alors de les lécher en même temps leur sexe. Ainsi je vis de très prêt l'entrée du pénis de Roger dans le sexe de Marie: on aurait dit une bouche qui dévore littéralement un gros bâton. Ils s'arrêtaient et Marie se dégagea. J'avais oublié de les lécher en même temps.

A La deuxième tentative, je léchais tant bien que mal l'entrée de Marie. Roger arrivait et commença à la pénétrer. Je ne pouvais guère bouger et je laissais les va-et-vient de Marie faire le travail de lèche. Finalement, je me retira de cette endroit et le rythme s'accéléra. Marie poussait des petits cris de jouissance. Soudain ils s'arrêtèrent et Maris me donna le god que son mari avait dans les mains. Elle se raidit un peu pour mieux offrir son cul et je compris qu'elle voulait être pénétré par derrière aussi, respectant mon choix de la pénétrer personne. J'installa le god dans ses fesses qui rentrait tout seul: effectivement la séance préparatoire de Roger avait bien été opérée.

Je commençai alors un mouvement de haut en bas assez lent au début suivi par Marie au dessus de son mari. Elle accéléra subitement le rythme m'obligeant à suivre aussi. La position n'était pas évidente mais pas désagréable à voir: je voyais le sexe de Roger pénétrer sa femme avec un god blanc dans ses fesses. Au bout d'un moment, Marie poussa des petits cris indiquant qu'elle allait avoir son orgasme. Roger accéléra lui même la pénétration en soulevant Marie.

De mon côté le va-et-vient du god se fit plus facile et j'en profitais pour la pénétrer plus fort. Je sortais le god pour le rentrer immédiatement sans faire attention: de toute façon, le trou était bien ouvert et elle ne souffrait pas.

Les râles se firent plus fort et d'un seul coup elle se raidit et Roger avait décidé de se lâcher dans son ventre. Je sortie le god et m'éloigna un petit peu comme pour mieux apprécier la scène. Ils étaient seules dans leur désir et vu le nombre de spasmes que Roger avait, on pouvait imaginer la puissance de son jet à l'intérieur de sa femme. Elle se retira de Roger et s'allongea sur le dos en laissant ses cuisses bien écartées. Roger fatigué m'indiqua de lécher son sexe bien rempli comme pour finir un travail de terrassement. Ma langue parcourut ses lèvres et j'ai eu en retour des gouttes de spermes de Roger tout aussi salé que ma propre semence. Marie me prit la tête pour mieux me diriger dans ce nettoyage après rapport. j'en profitais pour limer aussi son cul, elle appréciait.

Roger s'était rhabillé et moi j'avais fini de nettoyer Marie. Elle décida de me rhabiller elle-même en remontant ma petite culotte. J'eus le droit à une nouvelle petite suce vite rejoins ce coups ci par Roger. Marie céda la place afin de se réajuster. La suce de Roger était très bien faite: il me caressait les boules et le cul. Au bout de dix minutes environ de suce très active je finis par venir dans sa bouche. Il avait décidé d'avaler aussi ma semence. Marie rigolait en voyant son mari tout aspirer et moi avec des spasmes. A la fin de cette situation, elle nous dit:

  • Eh bien comme ça, tout le monde a goutté au sperme ce soir.
  • Oui je le désirais, dit Roger, comme ça il n'y a pas de jaloux. Nous retournons alors à la voiture pour partir de cet endroit en discutant.
  • Alors tu as aimé, me dit Roger ?
  • Oui, c'était très instructif et très bon. J'espère ne pas vous avoir déplu avec mes bas.
  • Oh non, c'était parfait et cela me donne une idée si Marie est d'accord: tu pourrais venir un jour où nos e n f a n t s ne sont pas là afin que tu te soumettes entièrement à nous.
  • Oui, dit Marie, tu seras notre bonne à TOUT faire, ha, ha. Bientôt les joies de la sodomie, et j'aime bien finalement les jeunes hommes qui se travestissent, c'est très flatteur pour nous les femmes et cela m'excite.

Ils m'ont raccompagné au lieu de notre première rencontre et on s'est dit qu'on se contacterait prochainement pour une nouvelle escapade. Finalement pour une première fois, je fus comblé et je pense m'en souvenir pendant très longtemps encore. Lorsque je passe en voiture à côté de cet endroit, j'ai toujours un petit sourire de satisfaction et attends patiemment la prochaine rencontre.

Auteur : Pouetpouet03

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